Les plus grandes banques systémiques du monde en faillite technique en 2012: Deutsche Bank, BNP Paribas, Crédit Agricole, Société Générale...

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Musee__americain_de_la_finance.jpgDepuis 2008 les lobbies financiers ont réussi à museler les velléités politiques de certains hommes d’État veules et pusillanimes comme Sarkozy, Hollande, Obama, de contrôler et de règlementer les banques et les assurances.

Depuis 2008 les banques criminelles, toutes selon le schéma de spéculations financières Ponzi Madoff Kerviel Abodoli, ont été subventionnées par l'État Providence Bancaire et aussi par l'Europe Providence Bancaire pour les sauver momentanément de leur faillite réelle et pour les aider à fusionner entre elles pour "qu'elles puissent immédiatement rebondir quand la crise sera passée". Michel Barnier, UMP, Commissaire Européen à la Concurrence et au Marché Intérieur a rappelé dans son Communiqué du 6 juin 2012 que les contribuables des États de la Zone Euro ont déjà donné 4500 milliards d'euros d'octobre 2008 à octobre 2011. C'est un hold-up. A ceux-ci s'ajoutent plus de 1000 milliards donnés en deux opérations de facilitations quantitatives et de carry-trade lancées par la BCE en échange de plus d'un millier de milliards d'actifs pourris déposés chez elle "en garantie", ce qui est une violation de ses statuts. Il ne faut pas non plus oublier entre autre les 124 billions de $ offerts à la Société Générale ou les 175 billions de $ offerts à BNP Paribas par la Fed', la Banque Centrale américaine entre décembre 2007 et juillet 2010 pour les renflouer (one billion = un milliard en français. Un billion ou eine Billion = 1000 milliards en français ou en allemand).

Depuis 2008 j'écris: Il n'y a pas de Crise de l'Euro mais la Crise des Banques ...et mon site est sur Google en A2 sur 7.760.000 résultats pour cette entrée. Ces taux de couverture, qui sont toujours en dessous des Recommandations de Bâle 2 du Comité de Bâle, et qui n'atteignent pas le seuil de 9% de Bâle 3 pour les banques systémiques, montrent simplement que ces banques sont en faillite technique, bien qu'elles aient toutes créé leur badbank pour falsifier légalement leurs bilans en évacuant des pertes souvent à hauteur de plus de 100 milliards d'euros pour chacune d'elles (Bad Bank de la Deutsche Bank et bad bank de la Société Générale). Je rappelle que les lobbies financiers ont réussi à faire annuler "momentanément" Bâle 3, Solvency 2 pour les assurances, MiFID2 qui auraient dû introduire un contrôle et une règlementation des banques. Par contre le "parapluie européen", le FESF - Fonds Européen de Solidarité Financière et le MES - Mécanisme Européen de Solidarité sont bien entrés en vigueur pour transférer massivement et toujours illégalement la dette privée des banques vers la dette publique des États Européens.

Banques_systemiques_2012_b.jpgSi vous cherchez sur Google "croissance appauvrissante" mon site est depuis 2008 en B2 et en B3 sur 5320 résultats. Un si petit nombre de résultats prouve que "croissance appauvrissante" n'existe pas. La doctrine du résultat de ce bullshit castle bancaire est si forte que "croissance appauvrissante" n'a même pas la dimension et l'existence du concept, alors que c'est une réalité existentielle dans les pays développés, émergents et en voie de développement. D'habitude il y a au moins 1 million de résultats pour n'importe quelle recherche sur les moteurs de recherche. Pourtant François Hollande et son Premier Ministre Jean-Marc Ayrault ont commandé à Gallois un rapport qui s'attache à culpabiliser les petites gens en diffusant massivement le programme de Nicolas Sarkozy et de Angela Merkel sur la "Compétitivité des Entreprises" destinée à faire avaler que le coût du travail est trop élevé et que les salaires touchés par les Travailleurs sont largement immérités. Mais que veulent donc les entreprises? En 20 ans l'impôt sur les sociétés est passé de 40 à 7% pour augmenter le bénéfice des actionnaires. Les entreprises transnationales ou qui ont des filiales à l'étranger se débrouillent pour ne pas payer d'impôt du tout. A cause des lobbies industriels les Droits fondamentaux et Sociaux n'ont pas de place dans le TCE, puis le Traité de Lisbonne. Parallèlement la France a diminué de la même ampleur les charges sociales des entreprises. La Lutte des Classes se fait toujours selon la logique du "à-tous les coups-ont-gagne" sans nous et par-dessus nos têtes, mais elle s'accélère et elle s'amplifie pour le profit des systèmes financiers avec l'appui massif du PS français. Bâle 3, Solvency 2 et MiFID2 sont annulés, mais le Pacte Fiscal Européen, le TSCG - Traité sur la Stabilité, la Convergence et la Gouvernance sera appliqué à la lettre comme un vomi rampant et intarissable qui nous inonde et nous noie. Il est la Règle d'Or pour tuer le Travailleur et le Code du Travail, pour casser le Travail, pour organiser le dumping social et pour supprimer les acquis sociaux et faire passer au niveau européen le temps légal du Travail à 48 heures. Ce TSCG est un "Pacte de Stabilité et de Croissance" renforcé, mais seulement renforcé pour les banques, les assurances et les systèmes financiers. Les entreprises qui n'obtiennent plus de vrais crédits pour de vraies activités à caractère économique, écologique et social se rabattent sur les Travailleurs pour se financer leur compétitivité financière si elles ne détiennent pas elles-mêmes comme Peugeot PSA ou Renault des fonds spéculatifs en faillite.  De toute façon la France n'aime pas le travail, n'aime pas les ingénieurs, n'aime pas la machine-outil contrairement à l'Allemagne.

François Hollande, qui n'est pas un homme du peuple, a choisi la trappe de la monétisation des dettes des banques et des assurances.  La chose est tellement réelle, et tellement cachée par un consensus mondial, que même mes amis me demandent "d'arrêter de radoter" quand j'expose une nouvelle échelle dans l'effondrement dans la crise et dans les attaques quotidiennes par les gouvernements et Bruxelles pour la finance bancaire et contre les démocraties en leur imposant de rembourser pour les 20 années à venir les dettes des banques à la place de leurs actionnaires. D'autres me disent que "oui, mais, toi tu vois les choses à une autre échelle, à une échelle internationale. Il faut regarder le concret de l'économie, des entreprises et de leurs banques." C'est vrai qu'avec mes publications qui ne sont pas des révélations, car l'information est disponible sur des sources "officielles" du net, je ne me fais pas d'amis. Comme je ne suis pas un "Influenceur", je suis un emmerdeur. Je ne suis qu'un linguiste, dans cette dite "Crise", il faut être linguiste pour ne pas se laisser berner par les mots et pour se lancer dans une phénoménologie active et en reality-time.

Pourtant avec un système financier et bancaire mort, il n'y a pas un système de banque capable de soutenir des projets industriels à dimension sociale, écologique et économique. Il est hallucinant de voir comment se glissent dans la tunique de l'infamie et du mensonge collectif mes congénères et la planète, celle de l'hémisphère riche. Quand la Crise éclatera, je resterai pour ces gens une personne à éviter. J'observe avec torpeur le confort du mensonge collectif qui dépasse de très loin tout Credo et qui a une force apostolique intarissable. A mon avis se préparent des bûchers. Jag är jättesur, det är inte kul! Jag är på dåligt humör! 

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Ce classement des banques systémiques, en cessation de paiements si elles n'étaient sauvées en flux tendus depuis 2008, a été établi par le Conseil de stabilité financière (Financial Stability Board - FSB), qui est un groupe économique informel créé lors du G20 de Londres en avril 2009 et qui est domicilié à la BRI/BIS - Banque Internationale des Règlements à laquelle nous devons les Normes prudentielles comptables Bâle 2 qui ont permis aux établissements financiers d'interpréter elles-mêmes leurs dettes et leurs actifs pourris comme elles l'entendent sans devoir à quiconque des comptes (voir Comment N°2). Si vous comparez le classement du 4 novembre 2011, vous voyez par exemple qu'en 1 an la situation n'a strictement pas changé par exemple pour la Société Générale, BNP Paribas, la Deutsche Bank..., alors qu'elles ont été arrosées sans contrepartie par la Fed', par la BCE et "sauvées" par les contribuables qui doivent payer pendant 20 ans pour le déficit public des États créé à cet effet. Pendant ce temps les médias font gloser sur "le Déficit de la Sécurité Sociale" et initient les peuples à l'abandon définitif par l’État de ses devoirs régaliens: santé, culture, le social, l'éducation. Les médias nous apprennent aujourd'hui qu'il est chic que l’État ne paye plus pour la santé, le social, la culture, l'éducation et le peuple qui se glisse par paresse et par auto-contemplation dans le Syndrome de Stockholm entonne en cœur ce "De toute façon, on ne peut plus se le payer". La France est le 5ème pays le plus riche du monde. Ce sera ce même peuple qui dira après "Wir haben es nicht gewusst - Nous ne l'avions pas su" après avoir organisé un bashing contre ceux qu'il perçoit comme plus faibles que lui, les étrangers, les gauchistes des gauchistes. Ce n'est pas un hasard si depuis juin 2006, où j'ai ouvert mon site, j'ai laissé en bas de page la bannière sur l'AGCS - l'Accord Général sur la Privatisation des Services pour lesquels Lionel Jospin, PS et 1er Ministre, avait offert au secteur financier tous les services publics français. Il y a un mois l'Etat a transféré aux Régions le programme du "Socle commun des Connaissances et des Compétences", et les Régions sont entrain de le transférer à des entreprises d'éducation privées. Plus personne ne parle de ces accords connexes comme AGCS, AGCS+, ADPIC, ADPIC+, qui ont été effectivement secrets et n'ont pas été soumis à un débat parlementaire et sociétal. La Lutte des Classes est une victoire quotidienne pour le secteur financier et la gauche est encore plus finaude pour privatiser la solidarité nationale.

L'Europe n'est pas non plus pressée de suivre le projet de Erkki Liikanen, le gouverneur de la banque centrale finlandaise. Ce projet Liikanen n'a rien de doctrinal ou de révolutionnaire. Il consiste à un simple retour aux équilibres qui ont été mise en place avec le Glass-Steagall Act par lequel les banques universelles, qui mixent la gestion des comptes de dépôt avec l'investment banking et l'assurance, ont été toutes démantelées (voir mon comment en N°2 ci-dessous). Le Glass-Steagall Act avait été mis en place en 1933 après la Crise de 1929 et a volé en éclats sous le régime Clinton le 12 novembre 1999 pour permettre à la City Group de devenir banque universelle.

Commentaires

1. Le 3. novembre 2012, par Sibru

Cher Cimbre,

Dommage qu'un fond sensé soit délivré au travers d'un tel salmigondis de lieux communs et d’amalgames; certes en tant que linguiste, vous savez l’importance de la sémantique et le pouvoir des phrases bien tournées; votre message gagnerait nonobstant en puissance s'il était débarrassé de ce 'bruit' doctrinal.

Cela étant et quand au fond, si les réglementations de type Bâle II ont permis une certaine responsabilisation des institutions financières, elles avaient pour objectif principal d'encourager la solidarité entre banques afin de protéger l’épargnant (et l'actionnaire); on sait entre-temps ce que cela donne en cas de défaillance globale du système...Je ne suis pour ma part pas favorable à une telle distorsion des règles du marché, ce dernier (ses opérateurs) n'ayant évidemment de cesse d'éprouver les dites distorsions au travers de mouvement spéculatifs dont l'ampleur croissante ne peut que conduire à une escalade suicidaire de moyens...théoriques. Preuve en est le récent Mécanisme Européen de Stabilité de 700 milliards d'Euros, dont le troisième contributeur (17.9%) n'est autre que l'Italie; on croit rêver quand on sait que celle-ci, dont la dette de 1450 milliards d'Euros(soit 5 fois la dette grecque) pourrait bien être la première à actionner le dit mécanisme!
Enfin, faire et défaire, c'est toujours travailler.

2. Le 3. novembre 2012, par Thomas, le Cimbre,

Heureusement pour des gens de ton acabit, mon "bruit doctrinal" n'est que quelque chose de totalement atone face à la victoire des lobbies financiers,
que l'on n'entend pas non plus mais qui sont domiciliés aux commandes
directement à Bxl
ou à la BCE avec Mario Draghi
ou dans le Congrès américain
ou au Salon Ovale chez Obama
ou au G20 ou Sénat américain.

Les normes prudentielles comptables Bâle 2 et MiFID1 sont même responsables de ladite Crise. Bâle 2 n'a pas "permis une certaine responsabilisation" comme vous avez envie de le croire mais a été rédigé par le Comité de Bâle et le BIS/BRI pour aménager dans les multiples brèches du texte toutes les libertés d'interprétations du risque que veulent s'offrir les banques, les assurances et les services financiers.
Il était convenu que les banques et assurances s'autoréguleraient.... toutes seules et sans contrôle, au nom de la doctrine libérale du laisser-traire-laisser-aller!

Co-Rédacteur de Bâle 2 est aussi IIF - International Institute of Finance, le syndicat des banques dont le Président est Josef Ackermann ancien directeur de la Deutsche Bank.

Co-Rédacteur est aussi la BIS/BRI - Banque des Règlements Internationaux. Aucun enseignement n'a été tiré depuis 2008 et les facilitations (falsification...) quantitatives catapultées avec la Helikopter Money payées par les États, leurs dettes publiques, les contribuables, l'augmentation des points de la CSG et le la TVA ( <<< merci Gallois et Hollande) ne servent qu'à amplifier la spéculation financière. En juin 2009 le commerce des produits financiers dérivés avait atteint 594.223 milliards et presque 707.569 milliards en juin 2011 (Source BIS/BRI - Banques des Règlements Internationaux). Ceci prouve qu'aucune réforme n'a été engagée depuis la crise des banques commencée avec l'année-Lehman 2008 et que tout pousse à aller encore plus profondément dans l'erreur criminelle et spéculative du shadow banking et des produits dérivés financiers, titrisés et commercialisés hors bilan.

Co-Responsable de ladite crise sont aussi lesdites Normes comptables internationales IAS et IFRS. Savez-vous seulement que ces normes comptables s'appuient sur le Bureau des standards comptables internationaux, plus connu sous son nom anglais de International Accounting Standards Board (IASB - Site officiel), qui est l'organisme international chargé de l'élaboration des normes comptables internationales IAS et leur déclinaison européenne IFRS. L'homologue normalisateur américain est le FASB (Comité des normes comptables et financières - Financial Accounting Standards Board, Site officiel). L’IASB est un organisme privé dont le siège est à la City de Londres. Mais l'IASB est sous la tutelle de l’IASCF (International Accounting Standards Committee Foundation) créé en février 2001 sous la forme d'une entité à but non lucratif non gouvernementale enregistrée dans l'État du Delaware aux États-Unis. Le Delaware est le paradis fiscal américain aux USA comme le sont Monaco ou le Luxembourg en Europe, ou les îles Caïman. Il n'y a rien d'étonnant que tous les médias de la planète, dont Le Monde, nous bassinent avec les nouvelles élections présidentielles américaines. Nous devons tous rester sous la bannière et les étoiles doctrinales.

Pas besoin d'avoir peur, je n'embrouille pas ton porte-feuille avec mon site web. Maintenant vocifère comme tu peux, cela ne cache pas la réalité comptable officielle de la faillite technique des banques ni le bilan réel des banques dans lequel se trouvent toutes leurs activités extra-bilancielles comme les OTC, CDO, CDS, RMBS, etc... Ton agitation de troll sans argumentation ne cache pas non plus que toutes les "réformes" annoncées depuis 2008 comme Bâle 3, Solvency 2 et MiFID2 ont été récemment annulées avant même d'entrer en vigueur. Il fait beau à Vilvoorde? Va faire joujou ailleurs.

3. Le 20. novembre 2012, par redrock

Cher Thomas,
ton silence depuis ta fugitive réaction au prix Nobel de la paix européen nous laisse un peu sur notre faim. D’autant plus que les décisions du gouvernement Hollande traduisent une véritable débandade face aux criailleries et aux oukases de la pensée unique euro-libérale.

Force est de constater que la"rigueur" Euro-Merkelienne et l'économicocentrisme allemand ne peuvent que conduire à l'effondrement social des pays non exportateurs en un tragique jeu de dominos.
Le quantitative easing de la Fed,des Banques d'Angleterre et du Japon et d'une façon détournée de la BCE permet d'une certaine manière de ralentir ou de reporter l'effondrement financier du système avec en arrière plan l'idée naïve que l'on va trouver des solutions ou que les banques tels les joueurs addicts vont se refaire. Mais comme tu l'as noté dans ton article c'est l'impasse et l'échec dans ces deux voies. Par contre le risque grandit de voir le bilan des banques centrales exploser en vol sous le poids des créances pourries refilées par les banques et d'assister à une véritable implosion du système monétaire face à une pénurie croissante de valeurs et de contre parties fiables.
Que faire alors? Résister au terrorisme financier, descendre dans la rue pour exiger la mise au pied de la finance ce qui impliquerait au niveau européen une mutualisation des dettes puis un défaut collectif au moins partiel et une souveraineté monétaire européenne au service d'un financement de grands investissements collectifs et sociaux.
Mais cela parait très difficile au niveau européen; pourquoi ne pas l'exiger d'abord au niveau français. De toute façon la crise ne trouvera pas de solution facile et il n'y a pas de logique économique à tout faire retomber sur les peuples. Le choix de la solidarité ne peut pas être pire que l'éclatement social dans le chômage, la précarité et l'exclusion de l'autre.

4. Le 21. novembre 2012, par Thomas, le Cimbre

Le problème est que je pense avoir traité de toute la question depuis 2008, et même 2006.

Maintenant, on attend.

Je dispose du luxe d'attendre, car je n'ai pas un emploi précaire, même si j'ai payé très cher et si l'on m'a mis en relégation à cause de mes propos.

Ma contribution est faite au sujet de ladite crise.

Il y a du bavardage dans les médias, mais rien de neuf. J'ai plutôt essayé de faire un travail encyclopédique et moins un diary, en tout cas pas un blog ou un forum.

Le relai sera pris, à mon avis dans la rue, car le peuple n'a pas réfléchi avant, n'a pas voulu réfléchir avant, même lors des dernières élections P et L,
et ne s'est pas donné les moyens de réfléchir, bien que l'information soit accessible. Une offre de gauche et parlementaire a pourtant existé.

Bien sûr j'ai la chance et le luxe d'avoir le temps de chercher l'info et de prétendre l'analyser. Mon travail est fait, je ne suis pas un révolutionnaire.
De toute façon, une révolution engagée comme ceci sera de toute manière ratée. Je me contente de Occupy the WordS : ça je sais faire à mon échelle et sans plus.

5. Le 13. décembre 2012, par Thomas, le Cimbre,

Hier le Baltic Dry Index a de nouveau perdu plus de 8% en 1 jour, et plus de 16% en 5 jours, 23,33% en un mois, plus de 61,85% en un an.
Il n'y a plus de marchandises en fret autour de la planète.

Le BDI est pour tous les intrants qui sont à l'origine de tout cycle de production pour tout lot économique.
Pas de matière première achetée/stockée = pas de bidule produit 6 mois plus tard.
Et comme le BDI a perdu 59,43% en année pleine, on ne produit pas de bidule depuis au moins six mois et pour encore au moins six mois à venir.
Et comme on a recapitaliser en fonds perdus les banques perdues au fond, on n'a rien fait pour l'économie, les travailleurs, les ménages et les consommateurs.


The Day of Reckoning is coming, boys!

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Le Parlement Européen de Strasbourg a été abandonné à des médiocres le 7 juin aux Élections Européennes 2009.
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