Le P(S) est le pantin de ce chant paroissial de l'UMP
Par Thomas, le Cimbre le 8. septembre 2006, - Catégorie : Peurs, dogme et puanteur - Lien permanent
Huile de ma série prémonitoire "La Chute du Mur de Berlin" de 1986/1987; Titre du tableau: "du communisme au fascisme"
à Etienne Fillol,
je ne suis pas un partisan.
Je fais partie de ces très rares indisciplinés qui n'ont jamais cru au duel de la Fausse et de la Mort, qui intuitivement sentent bien depuis le début de leur duo de manécanterie qu'il y a un parti qui pousse, l'UMP, et un parti suiviste, le P(S).
Le P(S) est le pantin de ce chant paroissial de l'UMP, mais il croit dur comme fer mener le débat contradictoire face à la droite. Le P(S) croit se sentir devenir acteur du destin en montrant comment sous sa nef il y mène le débat.
Mais pendant ce temps le juge d'application des peine avance, sarcle et cisaille.